Freitag, 20. November 2015

Le baladeur dans les ombres

Le soleil s'est allé prendre un plonge
Dans le mer, la solitude de la plage me mange
Au cœur, m'embrasse tendrement, et je pleure.
La silence du sable m'énonce en mille mots
Et une, la folie de ma futile vie ...

Comment veux-tu que je m'en tire, alors,
Avec la barbarie des gens qui vivent là-dehors,
Leurs âmes vide de tout vrai sentiment?
À minuit, ah, la beauté de la lune, comme rouge,
Elle aussi, je ramasse mes sanglots et chuis ravi ...


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